En France, la surpêche est au cœur des débats, mais autant dans la majorité des pays du monde. Par conséquent, des entreprises, des gouvernements et des associations s’amorcent progressivement contre la pêche illégale dans les océans. Notamment, c’est le cas du MSC France qui tente périodiquement de limiter ces techniques destructives pour la faune ainsi que la flore. Pour estimer de bons retours, des solutions doivent être réglementées. Quelles sont ces résolutions ?
La surpêche et ses lourdes conséquences
La surpêche ne s’avère pas un nouveau phénomène puisqu’il a commencé au 20ème siècle. Cependant, il a débuté à menacer toute la planète. En fait, la surpêche se définit sur la pêche excessive des fruits de mer et des poissons faits par les hommes. À la fois, elle affecte l’environnement et les ressources halieutiques. En plus de la pêche abusive, la surpêche qualifie la surexploitation. Et à défaut de sélection des espèces, le renouvellement des ressources marines est ainsi menacé et les réserves halieutiques de la biomasse également, incluant les crustacés, les poissons et les fruits de mer, les mollusques. Donc, la pêche extrême provoque de graves conséquences au niveau de la population halieutique parce que cette dernière pourrait tomber en deçà d’un seuil minimum maintenant la croissance de l’espèce. Et d’ici à moins de 50 ans, cette manifestation va mettre en péril les poissons marins et elle pourrait entrainer l’anéantissement des grands pélagiques. La mer crie à l’aide et les océans deviennent progressivement acides, car les autres dégâts occasionnés par l’activité humaine comme le dioxyde de carbone se stocke extrêmement en profondeur dans les océans et c’est encore plus qu’on ne l’imagine. Il est important de constater les effets néfastes parce que les écosystèmes vont se modifier si des mesures drastiques en termes de la surpêche ne sont pas prises.
Exercer l’aquaculture marine intensive
Dans l’annuaire de l’affrontement contre la surpêche, le label MSC pratique 3 principes fondamentaux tels que les stocks de poisson permanents, la gestion active des pêcheries et l’effet environnemental minimisé. L’opération de l’aquaculture marine participe à la réalisation des trois principes de MSC parce qu’elle permet de repérer de nouveaux fonds de poissons. De ce fait, on pourra satisfaire naturellement à l’augmentation de l’ingestion des produits de mer. Comment en pratiquer ? Il faut installer une frayère au bassin de grossissement selon le modèle en vogue de l’aquaculture marine. Ensuite, installez une écloserie particulièrement pour la fécondation artificielle des mollusques, des crustacés ou des poissons. Cependant pour obtenir un meilleur résultat, il vous faut des connaissances approuvées pour leur stratégie de production puisqu’en général, ces espèces sont triploïdes. Vous devez saisir toutes les mesures nécessaires conforme à la fragilité de ses petits ainsi que ses œufs. Il faut aussi garantir une alimentation adaptée. Concrètement, la population marine requiert une nourriture variée et riche et puis son régime alimentaire peut s’altérer d’un stade à un autre pendant son élevage. À propos de son mode de vie, mettez des coraux marins, vu que le quart de la tribu marine grandit en faveur d’eux. Et pour l’élevage de certains fruits de mer, établissez une ferme aquacole.
Renforcer les pratiques de lutte contre la pêche illicite
Un autre moyen de combattre contre la pêche illégale est le renforcement des stratégies de lutte selon le cadre de MSC. Le bon moyen d’y parvenir comprend le renforcement de contrôles. Donc, il faut immobiliser la vérification des accessoires de pêches et interdire l’usage de certains instruments qui détériorent les océans ou l’environnement aquatique. Comme l’utilisation de la pêche à l’explosif ou à la dynamite, la pêche Muroami et la pêche au cyanure. Ne négligez pas aussi de faire un pointage sur la profondeur maximale et la largeur d’un filet de pêche pour éviter à ce que ce dernier sera trop enfoncé pour fragiliser les coraux marins. Ainsi, l’instauration du régime d’autorisation peut soutenir les autorités marines pour le contrôle. L’organisation d’un système de calibre ou de tri entre les produits de mer est aussi essentielle.
Adopter une pêche réglementée
Tant que la pêche est réglementée, on pratique aussi à la pêche durable qui est soutenue par la vente en circuit court. Cela permet de mieux payer les matelots sur le fondement de prix fixes. Ils peuvent alors moins pêcher, car ils prennent plus de jours de détente. Apparemment, il faut réglementer les marins de faire vendre leurs fruits de mer aux enchères. Pour cela, ils doivent acquiescer cette technique : mettre les hameçons à l’eau au cours de 4 à 5 heures et faire remonter les poissons vivants un à un. Cette méthode évite les abandons de poissons morts. Et si des poiscailles ou espèces protégés sont trop petits et accueillis, on doit les remettre dans l’eau. Cela revient aussi à la taxation et la réglementation de la pêche d’une espèce. Cette dernière ne doit pas à louper, car la carence de système peut ouvrir les interruptions à la surpêche.